Dans un continent immense qui compte 1,4 milliards d’habitants et une vaste diaspora,
il n’existe pas de « cuisine africaine » au singulier. Mais la dynamique du panafricanisme,
qui « repose sur le principe d’unité et l’affirmation d’un avenir commun basé sur l’altérité » (N’Goné Fall), peut-elle contribuer à la promotion et à la visibilité des cuisines africaines dans leur singularité et leur diversité ? Par son pouvoir fédérateur, la cuisine ne participe-t-elle pas également à la création de « commun(s) » ?
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